La création de Screencatcher a débuté par une enquête sur les traces quasi-archéologiques des drive-in-theaters abandonnés aux Etats-Unis. Apparus dans les années 30, démocratisés dans les années 50, les drive-in furent, au même titre que les sneakers, l’apanage de la jeunesse américaine post WWII. Ici, entre coordonnées précises et errance artistique, Justine Emard créé un filtre poétique faisant fusionner différents niveaux de réalité en référence aux dreamcatchers des indiens navajos. Entre le dessin et la réalité augmentée, Screencatcher propose une autre expérience de l’image et élève la position du spectateur à celui d’acteur à part entière du dispositif.
The creation of Screencatcher began with a survey of the quasi archaeological traces of abandoned drive-in theaters in the United States. Appearing in the 30s and democratized in the 50s, drive-ins were—just like sneakers—the prerogative of post-WWII American youth. Here, somewhere between precise coordinates and artistic wandering, Justine Emard has created a poetic filter fusing different levels of reality in reference to the dreamcatchers of the Navajo Indians. Somewhere between design and augmented reality, Screencatcher offers another experience of the image and elevates the viewer’s position to that of a player fully integrated within the configuration
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Vidéoformes,
la DRAC Auvergne
et la participation du DICRéAM Ministère de la culture et de la communication, CNC, CNL